
Bienvenue les dames! Il me fait plaisir d’illustrer quelques étapes de la construction de ma carrière pour réactiver votre personnalité à travers la plateforme d’ANA.
Je m’appelle Flore, jeune dame célibataire sans enfant. Je suis née d’une famille modeste. Mon rêve a toujours été de faire plus que mon père et de lui démontrer que les femmes peuvent plus que le ménage dans leur foyer.
Si ANA me permet, je pourrai libérer dans une autre lettre plus tard cette damnation qui autrefois me laissait dans une situation apathique et m’a poussé finalement à changer de mentalité, à dire non et à vouloir montrer que les femmes peuvent tout si elles veulent. Aujourd’hui, j’aimerais juste vous montrer comment je suis devenue une femme d’affaire aussi riche et influente à mon âge.
J’ai eu mon bac à seize ans et j’ai commencé les cours du soir dans une école privée de management où j’ai fait un parcours jusqu’à la maîtrise. Parallèlement je faisais des stages et j’avais même des petits contrats. Je travaillais fort mais le revenu ne valait pas du tout mes compétences.
Après avoir lu un livre sur l’éducation financière dénommé « père riche et père pauvre », j’ai décidé de créer une entreprise en parralèle. Créatrice de contenu médiatique, animatrice d’événements, graphiste et monteuse de spot, mon entreprise commençait à sombrer au bout de six mois. Je voyais mes investissements à l’eau. J’étais aussi sujette d’harcèlement sexuel. J’avais vingt ans et les gens disaient que je suis trop jeune pour être PDG d’une entreprise. Je commençais à croire que mon père et tous ces décourageurs avaient bien vu. J’ai failli abandonner mais je n’ai pas voulu leur donner raison.
Espérant donc prouver à tout prix que les jeunes femmes sont fortes et capables devenait mes portions de prières. Un soir, j’ écoutais une vidéo qui indiquait de trouver un mentor et un parrain.
J’ai donc cherché et trouvé une idole et une marraine qui excellait dans un domaine identique. Elle me fit comprendre qu’on ne gravit pas les échelons comme celà et qu’il fallait retourner aux études, avoir des compétences dans l’entrepreneuriat, s’atteler à l’apprentissage et aux conseils, que ce soit dans les livres, auprès des anciens dans le même secteur, dans la lecture des vidéos sur youtube ou des articles de blog.
Après une formation accélérée en ligne et à la participation aux différents forums et séminaires d’entrepreneuriat. j’ai pu écouter diverses opinions qui m’ont forgée et m’ont apprise des erreurs à ne pas commettre en début d’entrepreneuriat.
Mes affaires ont commencé à fleurir, les hommes commençaient à me respecter. Je me faisais déjà un nom et nul besoin de me demander d’aller aux actes saugrenus envers mon sexe femelle pour un contrat misérable. Ceux qui avaient osés le faire sont revenus, se sont excusés et nous avons d’ailleurs signé des contrats sur de longs termes.
Comme vous pouvez le constater, je pouvais vendre mon intimité à vil prix et salir mon nom parce que les hommes ça parle après. Je suis restée sereine. J’ai protégé ma dignité et j’ai construit à partir d’une force de caractère, la patience, la persévérance l’apprentissage et mes compétences une entreprise qui aura certainement 99 ans de vie.
Une femme d’affaire, ça ne tombe pas du ciel. On ne naît pas avec. On se forme et on le devient.
Pour vous les jeunes dames, le but ne doit pas être gravir les échelons, mais le but c’est d’abord un choix, un projet, un lancement, un obstacle, le respect de soi et de ses engagements, l’apprentissage, l’acquisition et le perfectionnement des compétences, le dynamisme, la persévérance, la confiance en soi ensuite la réussite.
Mettez la main à la pâte, fixez-vous et démarrez votre projet dès aujourd’hui. Si vous n’avez pas les compétences nécéssaires, vous savez déjà quoi faire!
Nous sommes les influenceuses de demain. Nous sommes les meilleures.Mais ça commence aujourd’hui.
A bientôt.