Une femme éblouie!

Salut, je m’appelle « anonyme »!

Je suis une personnalité publique donc je ne vais pas donner mon nom.

Très longtemps, j’ai pensé que la femme est considérée comme une subalterne dans le mariage et cette idée m’a beaucoup traumatisée et m’a amenée à nier à plusieurs reprises mes sentiments face à un homme qui voulait aller plus loin avec moi.

J’étais tout aussi heureuse de cette manière! Tout fonctionnait aussi bien dans ma vie. J’ai toujours défendu la cause des plus démunis mais plus je prenais de l’âge, j’ai commencé aussi à gérer la cause des femmes.

Mes parents n’ont pas vécu le mariage parfait et je me suis dit que je me marierai pas et je n’aurai pas d’enfants.

Cette pensée grandissait au fur et à mesure que cinquante pour cent des femmes que j’entretenais à mon bureau me racontaient leurs histoires de couples et combien l’irresponsabilité des hommes devenait grandissante.

Mes opinions sur le mariage devenaient excessives et j’ai failli plusieurs fois conseillé les femmes qui m’abordaient d’ une mauvaise manière.

Lors d’une soirée de gala sous le haut parrainage de son excellence le président de mon pays, un évènement au cours de laquelle je me suis chargée de la présentation, j’ai rencontré un homme charmant qui a suscité quelque chose en moi.

Je me suis rendue compte que quelque chose me manquait. Quelques semaines après, j’ai accepté ses avances.

Après trois ans de découvertes en couple, il m’a demandé en mariage. Tellement éprise, j’ai fini par accepter après de nombreuses insistances surtout auprès de ma famille.

Aujourd’hui, nous faisons douze ans de vie commune avec trois beaux enfants.

Et je peux vous assurer que notre mariage est quasiment le contraire de celui de mes parents et de la plupart des femmes que je recevais.

Je suis une femme éblouie. Il n’est pas parfait mais il est très respectueux, très calme et très patient. Vous savez que la plupart des femmes ont du caractère et mon homme, tellement il est patient.

J’aimerais dire aux femmes qui ont peur du mariage que les hommes ne sont pas pareils. Chacun a sa particularité. Il faut découvrir et voir si vous pouvez cohabiter ensemble et si vous avez la même manière de voir la chose.

Encore là, je vous dis que l’amour existe et qu’il faut y croire, se découvrir soi-même, être patiente, découvrir son partenaire et avancer!

Je vous dis que ça peut marcher.

Partager ses photos intimes avec son propre mari/ Des erreurs ou pas?

Salut les filles, je m’appelle Leslie et je suis toujours dans un état perplexe quand je pense à ce passé douloureux.

Nous étions mariés pendant dix-neuf ans. La complicité, le partage et l’adoration de Dieu était notre nourriture journalière.

Nous avons cinq enfants et je ne suis plus en forme comme quand Monsieur m’avait rencontrée.

Je me sentais différente et j’avais besoin d’être rassurée mais il ne se souciait même plus de moi.

Il rentrait tard et parfois après cinq jours et cinq nuits sans raison valable. Les weekends, pendant que les enfants dormaient dans leurs chambres, après avoir espéré pendant longtemps de passer leurs temps avec papa, ce dernier klaxonnait et criait pour que je vienne lui ouvrir.

Les dimanches, je dormais à quatre heures du matin parce qu’il rentrait à trois heures. Je devais me lever à sept heures, servir le petit-déjeuner et déposer les enfants à l’école à huit heures.

Mon travail commençait à huit heures et trente. Je n’avais pas souvent droit à la pause de midi afin de vite finir et de rentrer pour cuisiner afin qu’il soit heureux et fier de moi. Mais les attitudes et les habitudes ont bien changé. Avant, il allait chercher les enfants mais il a décidé du jour au lendemain de ne plus le faire. Je devais changer mes honoraires et aller les chercher, les ramener à la maison, leur donner à manger, leur donner des exercices à faire et retourner au taf.

Un soir, une amie m’a écrit un message sur un ton de fureur et m’ a fait la morale. « Mes photos nues sur les réseaux sociaux ».

J’étais devenu folle. Mon mari ne peut pas faire ça! Ces mots trottinaient dans ma tête mais pourquoi diable, un époux ferait ce coup à la mère de ses propres enfants?

Il était le seul qui avait mes photos, celles que j’avais prises avant notre cinquième enfant, juste pour lui faire plaisir : des sextos entre couples mariés.

Mon amie m’a envoyé les photos, c’était exactement celles-là. Il ne m’aimait plus. Il avait une autre dans sa vie. N’ayant trouvée aucun moyen de renvoyer nos enfants et moi de chez nous. Il a crée ce scandale en salissant mon image. Il m’a chassé du foyer et il a demandé le divorce.

je n’arrive toujours pas à comprendre comment ni pourquoi est ce qu’il a agit de la sorte.

Parce qu’il est le père de mes enfants, j’ai refusé qu’on l’enferme.

Il s’est marié avec une autre jeune fille qui a l’âge de notre fils ainé.

Pourquoi? Au bout de dix-neuf ans de mariage, j’ai été trop naïve. Je pensais qu’au moins la confiance résidait.

Dîtes moi, que cacherez-vous à votre mari de surcroît après autant d’années de mariage et cette équipe nationale que j’ai mise au monde pour lui?

Je m’en remets pas jusqu’à lors. Je veux m’adresser aux femmes. Vous ne savez forcément pas avec qui vous êtes. Un homme, on ne finit jamais de le connaître. Des choses qui sont intimes à vous, comme vos photos sensibles, ne l’envoyez pas via wassap, d’ailleurs pourquoi prendre des vues des parties aussi intimes? Mirrez vous si vous voulez savoir si votre corp est beau. D’ailleurs, si vous avez confiance en vous, vous n’avez même pas besoin de chercher à savoir.

Un homme peut changer son comportement à tout moment. Faites attention et ne fournissez pas les objets qu’il pourra utiliser contre vous quand il aura marre de vous et si vous êtes chrétienne, priez pour ne jamais rencontrer ce genre d’homme.

Aidez-moi!/ histoire de viol

Salut! C’est une joie d’avoir une plateforme sur laquelle partager ses secrets et demander conseil aux autres femmes. Ça fait du bien!

On m’appelle Mauriciane. Je suis d’origine française . Il y’a sept ans, j’ai rencontré une fille près de mon université. Elle s’appelle Sylvie. Elle était tellement gentille et nous sommes devenues amies.

Quelques fois après l’école, j’allais chez elle. Nous partageons tout ce que les amis peuvent partager. J’avais déjà ma voiture en ce moment-là et elle l’utilisait de temps en temps.

Un jour, nous étions parties faire quelques achats quand j’ai rencontré Yan.

Il était mignon, baraqué et avait l’air très sportif mais son apparence me disait long sur lui. Il s’est mis à me faire des avances. J’ai voulu mieux le connaître avant d’entreprendre une relation.

Il m’a invité un soir pour dîner dans un beau restaurant. J’ai décidé de me lancer dans l’aventure et de lui donner une chance. En plus, j’étais seule et je désirais avoir quelqu’un avec qui partager ma vie de jeune fille.

Quel beau dîner! Il sonnait huit heures du soir quand j’espérais rentrer chez moi mais il pleuvait énormément. Cette tempête et cet orage étaient unanimes et assez mystérieux . Depuis que je suis née, j’en n’ avais jamais vu de pareil. Il a bien évidemment refusé de me déposer.

Il se faisait de plus en plus tard et le restaurant voulait fermer. Il me proposa alors d’aller dans la maison de son oncle qui n’était qu’ à cent mètres afin de se mettre à l’abri.

J’ai refusé mais il a démarré la voiture contre mon gré et nous voilà. Il sonnait vingt et deux heures. J’ai demandé à rester seule dans une chambre. Ce qui fut fait mais il n’y avait pas des clés. La porte n’était donc pas fermée. Comme je n’avais jamais dormi dehors, j’ai appelé ma mère qui était tout de suite rassurée du fait que je me suis bien abritée. Elle m’a demandée de rentrer aussitôt que l’orage se calme.

Une heure après, j’ai fermé les yeux pour laisser reposer ma petite tête, mais j’entendis la porte s’entrouvrir.

Quelques temps après, je sentis les pas d’une personne dans le noir qui marchait vers moi, ensuite une légère respiration. Mon lit s’affaissait. Yan était juste assis à côté. D’une voix douce, il dit: <Mauri, je veux de toi>.

Je lui ai dit que j’en avais pas envie et que je suis pas prête pour celà et qu’on devrait prendre le temps de se connaître.

Tout d’un coup, je sentais son poids sur moi. Dégoutant, il était tout nu, m’a d’abord ecarté les jambes, m’a tenu de force les deux mains, et forçait sa machine de rentrer. Je me débattais et criais. Une seule main suffisait pour faire taire mes cris et l’autre pour me tenir les mains. J’étais complètement immobilisée et je me faisais violer par cet homme.

J’étais perdue! J’ai essayé de partir juste après mais les tonnerres grondaient. Et la tempête devenait menaçante. Quand l’orage commençait à se calmer vers une heure du matin, j’ai appelé ma copine Sylvie qui est venue me chercher. Je n’ai pu partager ceci avec personne, ni elle. Je ne veux pas que les gens sachent que j’ai été victime de ça, et qu’ils aient de la pitié pour moi.

Comment je l’ai vécu?

L’homme me dégoûtait, j’ai une fois aimé mais je ne pouvais plus aimer. Je voulais faire payer tous les hommes, la folie d’un autre. Je ne sortais plus avec un seul homme mais plusieurs. Je me faisais très belle et tous les hommes qui couchaient avec moi me devaient quelque chose. Je suis devenue la fille que je n’aurais jamais imaginée devenir : prostitueuse, manipulatrice, menteuse, orgueilleuse et tous les mauvais attributs de ce monde.

Pour moi, l’amour n’existait plus.

Ceci a duré pendant trois longues années. J’ai arrêté que quand j’ai rencontré un ami qui avait de bonnes intentions avec moi. On allait à leur centre de prière ensemble. Il ne me jugeait pas. Mais la parole de Dieu m’a amené à regretter les actes que j’ai posés, à demander pardon à moi-même, à Dieu et à pardonner ce jeune homme.

Un an après, j’ai rencontré un homme qui me traitait différemment. Je sentais que c’etait le père de mes enfants. Nous nous sommes ainsi mariés deux ans après. Je ne suis plus comme la Mauri d’avant le viol mais je suis devenue une nouvelle personne qui s’en est sortie.

Je ne peux pas oublier mais je suis aujourd’hui libre dans mon coeur et beaucoup plus en rédigeant cette lettre.

C’est le seul secret que je n’ai partagé avec personne. Même mon mari n’est pas au courant. J’ai juste voulu me libérer aujourd’hui en passant anonymement par fondation ANA.

Merci.

Je n’ai pas été à la grande école mais j’ai fondé mon entreprise / Leadership féminin

Je me nomme Talia. Je suis africaine et mère de six enfants. Je suis fière de vous dire que ce n’est pas seulement dans les grandes sociétés, dans les associations ou en politique que vous trouverez des femmes ploutocrates et leaders. Elles sont également dans les rues, dans les champs voire des endroits que certaines d’entre vous n’aimeraient donner une minute de son temps juste pour y faire un tour. Et pourtant, c’est bien où il faut investir son temps.

J’ai une entreprise de vente de noix de coco depuis quatres années maintenant. Vous direz que celà n’a rien d’extraordinaire et que je suis une villageoise qui cultive la terre mais je ne suis pas gênée.

C’est une de mes passions. En réalité, ce n’est pas le travail que nous effectuons qui compte. C’est comment, pourquoi et dans quel but, nous le faisons.

J’étais encore enceinte du benjamin mais je n’avais pas de revenu, de savoir faire ni de diplôme. Mon mari m’a quitté pour une autre femme et ne se souciait même plus de nos enfants.

J’ai décidé d’aller voir mon père. Je lui ai demandé des espaces pour l’agriculture. À ma grande surprise, il m’a tendu les pièces d’un hectare bien situé. Quelle joie! J’avais de quoi faire ce que je voulais.

Mon mari n’étant plus avec nous, mes économies de la vente des noix en détail dans les rues que je voyais finir m’ont permises de payer le nécessaire pour finaliser les plantations de cocotiers sur mes terres.

Quelques temps après, nous voici dans les temps de moissons. Les récoltes étaient tellement abondantes. J’avais demandé à des amis journalistes de faire la publicité et que je leur donnerai dix pour cent à chaque fois qu’ils apporteraient un client. Des entreprises me contactaient pour en commander. Je faisais des bénéfices inimaginables et ma compagnie devenait de plus en plus nabab et formelle.

J’avais des demandes d’exportation d’où ma transition totale vers le formel. En l’an deux mille dix huit, une entreprise internationale a commandé neuf conteneurs de mes fruits et a signé un contrat sur douze années avec ma compagnie. Quand les acheteurs ont fait le dépôt sur mon compte, j’étais ébahie.

Je n’ai jamais pensé voir autant de chiffres de ma vie. Je payais davantage des terres et je devenais multimillionnaire sans diplôme. Qui aurait cru? Je suis aujourd’hui l’une des jeunes dames aisées de l’ Afrique juste en commençant par la vente d’une noix de coco dans les rues.

J’ai constitué des équipes pour y parvenir mais je ne disposais pas des connaissances primordiales pour diriger alors j’ai engagé un directeur des opérations que m’a conseillé une amie.

J’ai décidé de faire des cours du soir pour relever mon niveau d’expression et de compréhension de la langue française. Très vite, en douze mois, j’ai fait une formation accélérée en entrepreneuriat et un stage dans un établissement qui appartient à l’oncle paternel de mes enfants. Je peux être fière de dire que je suis aujourd’hui PDG de mon entreprise avec un chiffre d’affaire de quatre vingt quinze millions de francs.

C’est un pur bonheur que je vis depuis cet instant. Je désire dire à toutes les femmes qui me lisent que tout est possible.

Il n’existe pas de sots métiers . Quand un métier vous inspire, lancez-vous!

Si vous cherchez des compétences, faîtes un pas vers une formation . Je n’ai appris que l’essentiel mais c’est de mon entreprise que certains diplômés de grandes écoles vivent. Ils vivent de la vente des noix de cocos. Ça paraît peut-être drôle!

Dîtes non à la paresse. Dîtes non à la peur d’oser. Dîtes non à la crainte d’essayer. Quelques soit ton niveau d’etudes, tu peux réaliser ton rêve de devenir crésus et leader. Il y a toujours un moyen pour y arriver.

J’espère avoir encouragée une dame à travers mon histoire.

A bientôt!

Comment gravir les échelons? Flore nous révèle ses secrets./Leadership féminin

Bienvenue les dames! Il me fait plaisir d’illustrer quelques étapes de la construction de ma carrière pour réactiver votre personnalité à travers la plateforme d’ANA.

Je m’appelle Flore, jeune dame célibataire sans enfant. Je suis née d’une famille modeste. Mon rêve a toujours été de faire plus que mon père et de lui démontrer que les femmes peuvent plus que le ménage dans leur foyer.

Si ANA me permet, je pourrai libérer dans une autre lettre plus tard cette damnation qui autrefois me laissait dans une situation apathique et m’a poussé finalement à changer de mentalité, à dire non et à vouloir montrer que les femmes peuvent tout si elles veulent. Aujourd’hui, j’aimerais juste vous montrer comment je suis devenue une femme d’affaire aussi riche et influente à mon âge.

J’ai eu mon bac à seize ans et j’ai commencé les cours du soir dans une école privée de management où j’ai fait un parcours jusqu’à la maîtrise. Parallèlement je faisais des stages et j’avais même des petits contrats. Je travaillais fort mais le revenu ne valait pas du tout mes compétences.

Après avoir lu un livre sur l’éducation financière dénommé « père riche et père pauvre », j’ai décidé de créer une entreprise en parralèle. Créatrice de contenu médiatique, animatrice d’événements, graphiste et monteuse de spot, mon entreprise commençait à sombrer au bout de six mois. Je voyais mes investissements à l’eau. J’étais aussi sujette d’harcèlement sexuel. J’avais vingt ans et les gens disaient que je suis trop jeune pour être PDG d’une entreprise. Je commençais à croire que mon père et tous ces décourageurs avaient bien vu. J’ai failli abandonner mais je n’ai pas voulu leur donner raison.

Espérant donc prouver à tout prix que les jeunes femmes sont fortes et capables devenait mes portions de prières. Un soir, j’ écoutais une vidéo qui indiquait de trouver un mentor et un parrain.

J’ai donc cherché et trouvé une idole et une marraine qui excellait dans un domaine identique. Elle me fit comprendre qu’on ne gravit pas les échelons comme celà et qu’il fallait retourner aux études, avoir des compétences dans l’entrepreneuriat, s’atteler à l’apprentissage et aux conseils, que ce soit dans les livres, auprès des anciens dans le même secteur, dans la lecture des vidéos sur youtube ou des articles de blog.

Après une formation accélérée en ligne et à la participation aux différents forums et séminaires d’entrepreneuriat. j’ai pu écouter diverses opinions qui m’ont forgée et m’ont apprise des erreurs à ne pas commettre en début d’entrepreneuriat.

Mes affaires ont commencé à fleurir, les hommes commençaient à me respecter. Je me faisais déjà un nom et nul besoin de me demander d’aller aux actes saugrenus envers mon sexe femelle pour un contrat misérable. Ceux qui avaient osés le faire sont revenus, se sont excusés et nous avons d’ailleurs signé des contrats sur de longs termes.

Comme vous pouvez le constater, je pouvais vendre mon intimité à vil prix et salir mon nom parce que les hommes ça parle après. Je suis restée sereine. J’ai protégé ma dignité et j’ai construit à partir d’une force de caractère, la patience, la persévérance l’apprentissage et mes compétences une entreprise qui aura certainement 99 ans de vie.

Une femme d’affaire, ça ne tombe pas du ciel. On ne naît pas avec. On se forme et on le devient.

Pour vous les jeunes dames, le but ne doit pas être gravir les échelons, mais le but c’est d’abord un choix, un projet, un lancement, un obstacle, le respect de soi et de ses engagements, l’apprentissage, l’acquisition et le perfectionnement des compétences, le dynamisme, la persévérance, la confiance en soi ensuite la réussite.

Mettez la main à la pâte, fixez-vous et démarrez votre projet dès aujourd’hui. Si vous n’avez pas les compétences nécéssaires, vous savez déjà quoi faire!

Nous sommes les influenceuses de demain. Nous sommes les meilleures.Mais ça commence aujourd’hui.

A bientôt.

Mères célibataires! Comment vivez-vous cette crise?

Je m’appelle marie. Je suis étudiante en informatique et mère de trois beaux enfants. J’ai parallèlement une petite entreprise de vente de vêtements. Quand je me levais ce matin, je me posais des questions.

Comment les mères célibataires vivent-elles cette crise? eh oui! je me pose la question parce que j’en suis une.

Une mère célibataire, ce n’est pas si rose. C’est surtout difficile quand elle n’est pas entourée de bonnes personnes. C’ est être au moulin et au four, c’est jouer le père et la mère. C’est aller chercher l’excellence pour jouer son rôle dans la plénitude. Et si en plus, elle est démunie, c’est le pire!

Après avoir pris soins de mes petits ce matin, je me suis rappelée que des vivres me manquaient. les autorités nous ont dit de fermer nos boutiques. Il ne me restait que 3000 francs comme bénéfices des ventes. Si ceci perdurait, qu’allons nous manger les prochains jours? Je me posais des questions.

Après les avoir bien habillés, il fallait que je les tiennes occupés afin de m’occuper des cours en ligne.

Après mon second cours, les interventions de l’un et d’autres sur les différents aspects de cette pandémie COVID-19 qui détruit le monde m’a amené à vite cerner que la famine arrivait à grand pas. Amoureuse de la technologie, je me suis mise à chercher des jobs en ligne correspondant à mon profil et j’en ai trouvé.

Qu’adviendra -t-il des mères célibataires qui ont été mises à pied? Qu’en est il des mères célibataires qui avec peine pouvaient joindre les deux bouts? Qu’en est il des femmes médecins ou autres qui exposent leur vies et laissent leurs enfants livrés à eux même?

Yako! j’aimerais juste vous édifier à travers ma journée et vous rappeler que nous sommes nombreuses dans ce monde dans la même situation mais il est possible de prendre courage et de tout surmonter.

Nous sommes des femmes fortes et expérimentées . Nous sommes uniques et meilleures. Ce n’est plus l’heure du découragement mais plutôt du décollement. Serrez fort vos enfants et dites-leurs de faire pareil. Ça donne le courage de chercher quoi faire et de trouver comment s’en sortir. C’est une anecdote parmi tant d’autres. Vous pouvez créer le vôtre et trouver le plein d’énergie pour s’en sortir.

Force à nous, mères célibataires.

Hommage à la femme noire

Heureuses, nous sommes d’être des femmes noires irrésistibles

Ouvertes au monde, nous apprennons , nous nous formons et nous évoluons

Maussade demeure notre passé rempli d’abus

Mais l’espoir fait place pour une victoire de la bataille

Attention aux allégations masculines

Grandiose est le devoir qui attend

Eh oui! Evitons toujours de retomber dans les pièges de certains dictateurs

À l’est comme à l’ouest, quelques millions de femmes font partie de l’armée pour un bon résultat

Laissons l’amertume derrière et faisons place au sourire.

Ah quel situation!

Finis le silence, la naïveté et le désordre

Enfin, faisons place à la célébration

Magnifique, intelligente et capable telles sont nos atouts.

Merci aux belles dames noires qui ont fait et continuent cette bataille. Maternelle, vous êtes pour vos semblables.

Enfin, les choses avancent

Nous sommes reconnaissantes pour la femme noire

Oui pour son dévouement, son dynamisme, son courage, sa patience et son amour

Illégal demeure l’attitude de certains hommes à ce jour à notre endroit.

Redoublons juste nos efforts pour y arriver

Efficiente, nous serons pour la défense de nos droits.

Dame, tu atteindras le pic du leadership!

« Les femmes ne doivent pas diriger les sociétés, elles ne doivent pas occuper des places de premier rang dans tous les domaines d’une entreprise. Contrairement aux hommes, elles doivent percevoir moins en terme de salaire » ARRÊTONS!!!

Cette chaîne de syntagmes est aujourd’hui dans le passé néo-colonialiste et dans les paradigmes de l’abus des injustices envers les femmes.

#Rayenne bouziton, #Sama Beatrice, #Mablé Agbodan, #Ama Beatrice Alovor, #Nadiaka et là encore, je ne vous parle pas de la jeune ministre de la Namibie, #Emma theofilus, de la directrice de cabinet auprès de la présidence togolaise #Victoire Dogbé, des anciennes dames gouverneurs généraux du canada et de divers pays à travers le monde. Elles ont choisi et bâti leurs carrières. Elles sont des pionnières dans leurs métiers et vous connaissez la plupart d’elles. Comme vous pouvez le voir, les dames de votre génération se démarquent dans leurs domaines.

Vous vous posez la question comment y arriver?

C’est simple! il est temps de dire « STOP » à ces hommes qui veulent affirmer leur masculinité en abusant des droits des dames, en protestant, en ne leur donnant pas la place qu’ils vous volent quand bien même vous la méritez. Que ce soit, en entreprise, en art, en artisanat, en politique, en langue, en économie, en finance, sur les médias; les femmes ont le pouvoir, la force, l’intelligence, l’énergie, l’expérience, la sagesse et la lumière pour siéger, gérer, diriger, atteindre l’incroyable et réaliser l’impossible.

Oui! petite ou grande dame, tu as le potentiel. Il faut juste s’estimer apte, libre d’esprit, heureuse et prête à s’informer et se former pour accoster le navire au bon port.

Tu es aussi importante, adroite, irrésistible que ces déesses de fer compétentes et dont les voix sont uniques et impactantes. Tu peux atteindre le but. Tu peux passer du quadrant B au quadrant E pour enfin devenir la femme leader, inspirante et influente de ta génération.

Dîtes non à un homme qui vous fait pleurer.

Je m’appelle olivia, je suis d’une nature sensible comme toutes les femmes.

Nos problèmes ont commencé quand il me parlait avec agressivité. Il m’insultait et me traitait de tous les noms. Il me soumettait, il m’assujettisait.

Doit-il me traiter comme ça?comme une chienne? Comme sa domestique? ou sa reine?

Il n’avait pas le temps pour me démontrer son amour. Je m’occupais de tout à la maison. Outre celà, je travaillais également tout comme lui et on gagnait presque les mêmes salaires. Je contribuais tout comme lui.

Je lui montrais de la douceur, de l’amour et du respect. Mais très souvent, quand il faut discuter, ça finissait mal. Parce qu’il voulait tellement affirmer son autorité qu’il m’agressait verbalement. Je ne voyais plus la différence entre parler à sa femme et à sa domestique. Je ne voyais pas la différence entre demander quelque chose à son employé et demander quelque chose à sa femme.

Tout ce que je faisais ne lui convenait pas. Il avait ses manières de faire les choses, sans discuter. La dernière m’a emmené à faire une crise de tension.

J’ai fait l’erreur d’accepter tout ceci par amour et ceci a tellement détruit mon cœur que j’aimerais toucher les jeunes filles qui veulent se marier à travers mon histoire.

Votre futur mari, est-il d’une nature douce ou violente? Comment vous parle-t-il dans les situations difficiles ou sous pression? C’est comme celà que vous saurez si vous partagez les même convictions et que vous pouvez vivre ensemble. Le mariage n’est pas une obligation ou ne se base que sur l’adrénaline.

Pour ne pas en souffrir trop, j’ai du divorcé. J’ai compris qu’il ne pouvait pas faire l’effort d’être doux et calme.

Dames, regardez bien, analysez leur comportements en tant de difficultés, de crises ou d’incompréhension. C’est ainsi que vous ferez le choix d’un couple heureux.

Femme, dîtes non à la violence!

Je passe par fondation ANA pour me libérer et partager un conseil à mes sœurs dans la même situation. Je m’appelle Byina.

Il était le plus gentil, attentionné et le meilleur. En tout cas, c’est ce que je pensais quand je l’ai rencontré. Il me gavait de cadeaux et était le plus respectueux de tous les hommes que j’avais rencontré avant. Il ne montrait aucun signe de violence.

Trois ans après, alors qu’on s’organisait pour les premiers pas, je n’aurai jamais imaginé qu’il me donnerait une gifle parce que je n’étais pas d’accord avec la manière dont il voulait procéder.

C’etait la première fois que je voyais kokou violent. Je me suis dit que c’était le stress.En me voyant pleurer, il a demandé pardon et je l’ai pardonné. Je l’aimais d’un amour inconditionnel et je n’aurais jamais imaginé que celà se reproduira encore et encore.

Après les premiers pas, j’allais le voir souvent. Je lui faisais la cuisine de temps à autres, lavais ses habits, les séchais et passait des temps de qualité avec lui. Et à chaque heure, lors de nos discussions, il devenait colérique.

Quelques temps après, j’ai eu l’impression qu’il me prenait pour acquis. Il devenait très jaloux et ça finissait par des coups et des abus sexuels. J’ai gardé ceci pour moi pendant deux années en cherchant des alternatives pour qu’il change. Qu’est ce que je n’ai pas essayé de faire pour garder mon couple en vie?

Je ne saurai comment vous le décrire mais il y a des femmes qui comprendront ce que j’ai vécu.

Si un homme vous manque de respect à la maison ou dans n’importe quel lieu secret, il n’hésitera pas à le faire dehors, devant votre famille ou vos amis.

Oui! Il m’a été difficile d’accepter que c’est un animal après qu’il ait osé me gifler devant des parents et amis pour des raisons non évidentes. D’ailleurs, l’homme n’a aucune raison de battre une femme.

Finalement, la rupture fut au rendez-vous même s’il m’a été difficile de l’accepter. J’ai compris qu’une femme a de la valeur et qu’elle doit ne doit en aucun cas se laisser maltraiter, abuser, ni agresser.

Demoiselle ou dame, tu es belle et unique. Tu as des atouts incroyables. Donne toi de la valeur et ne permet aucune agressivité que ce soit verbale, émotionnelle, physique ou sexuelle.

Ceci est de nos jours condamnable. N’hésitez pas de le signaler à la police.

Bon courage aux femmes. Ensemble, disons non aux agressions faîtes aux femmes!

A bientôt.

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